STEVE MARRINER
Hope Dies Last
Stony Plain


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Basé à Toronto, Steve Marriner naquit à Ottawa, et s'y fit remarquer en tant que prodige de l'harmonica, s'illustrant auprès d'étoiles montantes telles que les guitaristes Tony D. et J.W. Jones, puis de musiciens autochtones aussi reconnus que Colin James et Johnny Russell. Effectuant ses 1ères tournées internationales au sein du J.W. Jones Blues Band, puis auprès du Bluesman acoustique Harry Manx, c'est sur le label de ce dernier (Dog-My-Cat) que vit le jour en 2007 son 1er album solo, qui lui gagna l'estime de la critique comme celle du public. C'est avec son ami d'enfance Tony Diteodoro (alias Tony D.) et le batteur Matt Sobb qu'il fonda ensuite le trio Monkeyjunk (6 albums depuis 2009, dont 5 sur le label canadien Stony Plain). Entre temps, Steve a étendu son champ de compétences à la pratique des claviers, de la guitare, de la basse et du chant, sans omettre d'entamer parallèlement une prometteuse carrière de producteur (The Other Side de Drew Nelson en 2014, ou plus récemment encore, The Forgiver And The Runaway d'AJ Fullerton). Il mit à profit le temps libre que lui imposa le confinement sanitaire pour s'initier aux techniques d'ingénieur du son, et quoi de mieux pour s'y familiariser que de s'atteler à un nouveau projet solo ? Presque toutes captées durant la récente pandémie mondiale, les 10 plages qui composent cette nouvelle livraison le voient embrasser un plus vaste éventail de styles qu'au fil de ses projets précédents, dans un registre americana où l'on ne l'attendait pas forcément.

Patrick Dallongeville